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Uber uberisé à son tour ?

Uber a donné son nom à l’ubérisation

On ne présente plus Uber, la société de taxis à la demande, à l’origine du concept même d’uberisation.

Uber à révolutionné le secteur des taxis en utilisant le digitale, le digitale et encore plus de digitale.

  • Lorsque vous commandez une voiture via l’application Uber, nul besoin de préciser où vous êtes puisque votre téléphone s’en charge… grâce à des data.
  • Plus besoin d’effectuer un paiement à la fin de la course puisque des datas permettent de le faire faire par votre téléphone à votre place.
  • Uber localise les voitures proches de l’endroit ou vous êtes avec des datas logées dans les téléphones de leurs conducteurs.
  • Il est possible de suivre l’arrivée du véhicule, seconde après seconde, grâce encore à des datas.
  • Si vous souhaitez faire des économies, vous pouvez partager la courses avec d’autres utilisateurs qu’Uber une fois encore vous aide à géo localiser, grâce à des data, pour ensuite diviser la note, rendant le tarif de la course parfois quatre fois inférieur à celui d’une course avec un taxi classique.

Ne pas recourir à des services proposés par Uber ou ses concurrents comme Lyft semble désormais insensé.

Et Uber a inspiré d’autre start up qui peut-être ubériseront à leur tour Uber.

  • Shuddle permet de prendre quelqu’un d’autre à bord, comme un enfant à la sortie de l’école. Une sorte d’Uber for kids.
  • Sidecar est comme Uber, mais fonctionne dans l’autre sens, selon le système des enchères inversées. Tourné davantage vers les chauffeurs que vers les utilisateurs il permet aux utilisateurs de préciser le prix qu’il sont prêts à payer une course, puis aux chauffeurs d’enchérir. Celui qui se rapproche le plus du prix proposé par l’utilisateur gagne la course. Les autres chauffeurs ne sont pas perdant, puisque à ce jeu, ils optimisent largement leur journées de travail.

Une multitude de services comme SherpaShare apparaissent et s’inscrivent dans cette mouvance, ne se limitant plus seulement aux taxis.

Quoi qu’il en soit, que l’on soit dans la logique initiale d’Uber ou dans celle qui émerge comme une ubérisation d’Uber lui-même, il n’y aura qu’un seul gagnant : le client.